Le Soleil (du Cannada) rapporte:
(…) Son père avait appris le patois jersiais en écoutant les dirigeants de Robin, Jones and Whitman discuter entre eux, dans les années 40, alors qu’il travaillait à Sainte-Thérèse-de-Gaspé, à Grande-Rivière et à Newport.
«Quand les patrons ne voulaient pas que les employés comprennent, ils parlaient jersiais. Mais mon père finissait par comprendre et il en a gardé de grands bouts», dit-elle, montrant son glossaire jersiais pour rafraîchir ses connaissances de ce langage dérivé du vieux normand. (…)